Baisse du QI, multiplication du nombre d’enfants atteints d’hyperactivité ou souffrant de troubles de l’apprentissage : les tests les plus sérieux révèlent ce qui paraissait inimaginable il y a 20 ans : le déclin des capacités intellectuelles humaines. Serions nous entrés dans une sorte "d'évolution à l'envers" ? La question est posée par d’éminents chercheurs. Au banc des accusés, les perturbateurs endocriniens qui ont envahi notre quotidien et menacent les cerveaux des bébés. Révélations sur un phénomène inquiétant. (Et conseils pour protéger les générations futures !).

Pendant des siècles, on a considéré le cerveau humain comme un organe figé. Or, les recherches récentes ont mis en évidence ses incroyables capacités de réorganisation structurale et fonctionnelle. Le psychiatre Norman Doidge explore ici les implications de ces capacités d’adaptabilité dans le traitement des troubles mentaux.

Ce docu-série enquête au cœur de la filière agroalimentaire pour révéler des vérités écœurantes et démasquer ceux qui décident dans l'ombre de ce que nous mangeons.

La consommation alimentaire d'insectes, tels que les grillons, criquets et sauterelles, tend à se développer ; certains y voient une alternative à la consommation de viande.

En 2050, la planète devrait compter 10 milliards d'habitants. D'après des études récentes, il ne sera alors plus possible de nourrir tous les hommes. Pour éviter cette catastrophe alimentaire, faut-il se lancer dans l'élevage des insectes comestibles ?

Chaque seconde, 4,4 humains voient le jour sur la planète. Le moment où la terre ne pourra plus combler l’appétit de ces nouveaux venus approche. Ça, en plus du nombre croissant de catastrophes naturelles, de maladies, des terres arables de plus en plus utilisées pour faire pousser une pelouse verdoyante... et le pire est certainement à venir. Si j’étais vous, j’investirais dans un bunker. Dans un traitement rétro-futuriste, 2050 DANS VOTRE ASSIETTE offre un regard humoristico-scientifico sur les possibilités qu’offre l’alimentation du futur.

Administrés en grande quantité aux animaux d'élevage, les antibiotiques favoriseraient le développement chez les consommateurs de leur viande de bactéries résistantes aux antibiotiques. Pour le professeur Andremont, grand spécialiste de l'antibiorésistance, la France serait ainsi dans une situation «précatastrophique».

Depuis vingt ans, les OGM (organismes génétiquement modifiés), en particulier les plantes, ne cessent de s’étendre sur la planète dans le but d’améliorer les rendements de soja, maïs, coton, colza, riz, etc. Dix pays, sur les vingt-huit qui en cultivent, représentent, à eux seuls, 98 % de la superficie mondiale des cultures transgéniques – soit 11 % des terres cultivées – essentiellement sur le continent américain, le sous-continent indien et en Chine.

Le film examine le rapport entre alimentation et santé ainsi que l'hypothèse selon laquelle le renoncement aux produits d'origine animale et industriellement transformés permettrait de soigner – voire guérir – la quasi totalité des “maladies de société" qui frappent tous les pays occidentaux. Aujourd'hui, en France, 15% de la population adulte est obèse. 60 % de la population française a passé le seuil à partir duquel il ne faut pas grossir pour éviter l'obésité et les autres maladies de société. Au cours des 15 dernières années, l'obésité a augmenté de 75 %. (obEpi-Roche 2009).

En 2010, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a classé le fluor parmi les dix produits chimiques qui posent un problème majeur de santé publique. Des études montrent qu'il s’avère toxique dès 1 mg par jour pour les enfants et 4 milligrammes pour les adultes. A très forte dose, il entraîne des problèmes osseux chez les adultes ou des retards neurologiques chez les gamins. Plus inquiétant encore, le fluor se dissimule aussi dans nos poêles, nos vêtements ou nos boîtes à pizza, sous forme de composants perfluorés.

Les compléments alimentaires, des concentrés de nutriments censés compléter l'alimentation ont envahi notre quotidien : plus de 3 000 références inondent les rayons de nos magasins et des parapharmacies ainsi qu'Internet. Un Français sur quatre en consomme et deux fois sur trois, ce sont des femmes. Peut-on se fier à ces promesses de santé ? L'Europe vient d'interdire 95 % des allégations, c'est-à-dire les vertus qu'on leur prête. Désormais les fabricants seront tenus à plus de sobriété.