Plongé dans cette quête des découvertes occultées à l’humanité, il en est une que l’honnête homme ne saurait fuir, car elle possède toutes les vertus et contribuera, sans doute aucun, à transformer le monde futur. S’il nous fallait énumérer ce qu’une telle révélation pourrait apporter à notre civilisation, se serait difficile à évaluer, car on ne peut anticiper sur le quota de bienfaits que cette découverte serait en mesure de provoquer.

L’intelligence veut, que lorsque nous nous trouvons devant une énigme il est logique d’envisager le problème en prenant en compte la totalité des options présentes. Ne pas en tirer raison est une sottise à moins qu’il ne s’agisse d’un choix profitable ce qui est une menterie. Notre rôle n’est pas de chercher à résoudre la complexité d’une situation dont l’historicité aurait la teneur des grands complots universels, nous aurions au contraire la convenance, si ce n’est le dédain de ne pas l’alléguer.

Les plus grands mystères ont toujours plané sur quelques mots du vocabulaire : Dieu, Infini, Esprit, Vie, Mort, le réel se fond en l’irréel et l’infiniment petit en l’infiniment grand.

Lire, ce n’est pas seulement parcourir, c’est méditer. Le lecteur n’est pas simplement spectateur de la narration, il s’y agrège, il s’y modèle tel le matériau sous l’idée qui le conçoit. La vie est un espace restreint où nous sommes le plus souvent prisonniers de nous-mêmes. Un choc, un évènement, une réflexion et nous franchissons à notre insu un seuil cognitif, qui nous projette sur les margelles d’un ailleurs intangible dont nous pressentons les indicibles effluves d’une autre réalité.

Si, dans les âges, l’humanité parvient à passer son cap d’adolescence à risque, elle se rira de son absence de lucidité, comme nous sourions aujourd’hui à la naïveté antique. Contrairement aux opinions reçues, le panthéisme ne se résumait pas à ces carnavalesques épouvantails que l’on nous dépeint. Plutôt symbolisait-il les états de fluctuations de la pensée, voguant entre la présence intuitive d’un Principe Créateur Universel et l’ambivalence craintive des supputations humaines.

Entendons par ce vocable peu usité, l’initiation aux arcanes d’une connaissance mystique qui fut délivrée à des hommes contemporains de la plus Haute Antiquité.

Peut-être réaliserez-vous avec surprise que des êtres intemporels se sont employés à fixer dans la pierre un témoignage spirituel, certes cryptographié, mais plus concret que ces pseudos faits historiques qui nous sont officiellement dispensés.

Ce troisième tome est le juste prolongement des deux premiers, il amplifie, croyons-nous, le domaine des preuves que nous nous devons de formuler pour exhorter notre lecteur à méditer sur les vertus de l’enseignement officialisé.

Ce second tome intitulé « Orion et la Connaissance Perdue » est la juste prolongation du premier.