Un trésor inappréciable pour notre culture se trouvait dispersé, risquant d'être oublié : la science, l'action, le métier, l'aventure et l'héroïsme des hommes, de tous les pays lancés à la conquête du ciel. Il restait à écrire leur histoire, une histoire impartiale, "mondiale". Mais pour cela, comme le dit Jean Cocteau dans sa préface à Heures de vol, le premier livre d'Edmond Petit, "il fallait un aviateur, un historien, un critique, un linguiste, un humaniste, un poète..."

Un bagarreur étonnant, un très grand aviateur, un héros exceptionnel : Charles Nungesser.

Lorsque l’on parle de l’histoire de la Chine, c’est généralement pour évoquer ses grands personnages et ses célèbres monuments. Mais l’histoire de la Chine est bien plus riche et diversifiée. À l’époque de Confucius, la civilisation chinoise a déjà un long passé. On trouve, certes, de nombreuses informations sur ces époques lointaines dans les textes antiques et les contes populaires. Mais quelle est la part de réalité historique de ces textes ? Qu’est-ce qui relève de la fable ou de la fiction littéraire ?

La submersion des terres est un des sujets les plus fréquemment traités dans les mythologies. Et parmi les récits les plus connus, on trouve évidemment le Déluge biblique, adaptation tardive de légendes mésopotamiennes qui remontent à la période sumérienne. Toutefois, ce thème du déluge ne se limite pas aux traditions du seul Proche-Orient, et on le retrouve un peu partout dans le monde, depuis les déluges grecs d’Ogygès et de Deucalion, jusqu’aux grandes inondations évoquées dans le Popol-Vuh, le livre sacré des Maya-Quichés, en passant par les déluges chinois de Yao et de Yu le Grand.

Connaissances mathématiques, astronomiques ou géographiques en avance sur leur temps, instruments et outils anachroniques, techniques sophistiquées dans des domaines tels l’architecture ou la métallurgie… autant de témoignages incontestables d’un savoir et d’un savoir-faire parfaitement maîtrisés dès la plus haute antiquité. Étrangères à leur contexte historique, bien souvent uniques en leur genre, ces véritables « pièces à conviction » ne permettent certes pas, à elles seules, de connaître précisément ceux qui les ont conçues.

Ce livre fait la synthèse de l’état de la recherche scientifique actuelle, analysant de manière critique les dernières découvertes et les nouvelles hypothèses.

Associé à tort et trop souvent à l'unique folie nazie, le svastika, connu en Occident sous le nom de croix gammée, est un symbole vieux de plusieurs milliers d'années. Riche de significations, il est initialement synonyme de bonheur et d'accession aux plus hauts mystères. C'est pourquoi, sans minimiser l'importance de ce symbole dans la tentative d'anéantissement de notre civilisation, l'auteur privilégie l'étude archéologique, religieuse, symbolique, occulte et bénéfique de ce signe que l'on retrouve sur de nombreux monuments à travers le inonde.