Avant-propos.
L’aspect de la main, le modelé de ses formes, le dessin de ses lignes diffèrent d’un individu à l’autre. De même qu’il n’existe pas deux visages semblables, il n’existe pas deux mains dont la morphologie soit identique, et c’est sans doute ce caractère singulier qui a attiré l’attention des devins et retenu leur intérêt. La chiromancie consiste en effet dans l’examen soigneux de la main, de ses dispositions particulières, du tracé de ses plis, et dans l’art d’en tirer des conclusions sur le caractère et sur la destinée du consultant.

Introduction. Les runes sont utilisées depuis des siècles comme symboles magiques, comme outils de divination mais aussi comme alphabet à usage magique ou non. Dans ce grimoire j'exposerai une façon générale et simplifiée d'interpréter les runes sur le plan divinatoire, symbolique, et leur usage magique, mais c'est a vous de trouver vos propres interprétations et utilisations pour chaque rune. ...

Le mot « runes » désigne les caractères d’une écriture utilisée par les peuples germaniques d’Europe du Nord. Quatre à cinq mille inscriptions runiques témoignent de la vitalité de cette écriture. La moitié de ces témoignages proviennent de Suède. L’ensemble va du IIIème au XVIIème siècle. Le nombre des runes composant cet alphabet est 24. Les six premiers caractères sont f.u.th.a.r.k. ; d’où le nom futhark donné à l’ensemble des caractères de la même manière que le mot « alphabet » désigne la suite des lettres venant du grec et commençant par les lettres alpha et bêta.

(Traduit par Pierre Giguen - 1860)

Les Histoires ou l'Enquête (en grec ancien Ἱστορίαι / Historíai) est la seule œuvre connue de l'historien grec, Hérodote. Le titre signifie littéralement « recherches, enquêtes » (du grec ἵστωρ / histôr, « celui qui sait, qui connaît »). C'est le plus ancien texte complet en prose que nous ayons conservé de l'Antiquité. Hérodote y expose le développement de l'empire perse, puis y relate les guerres médiques qui opposèrent les Perses aux Grecs.

La collection Docavia est constituée de livres consacrés à l’aéronautique publiée par les Éditions Larivière.

Colonel de l'armée de l'air, combattant de 14-18 et 39-45, Dick Grace a eu des aventures des plus inattendues et intéressantes. Pionnier de l'aviation, baladin du ciel des meetings, il se mesura au ciel avec des avions simples, sans badin ni radio. Le principal centre d'intérêt de ce livre concerne ses métiers successifs, acrobate, accessoiriste, spécialiste des accidents "sur mesure" pour les films à sensations ou il a quelquefois récolté de sévères blessures.

Rédacteur en chef de la revue officielle de l'Armée de l'Air, le Lieutenant-colonel Pierre Paquier s'attache dans cet ouvrage à décrire les missions des pilotes de chasse français de la Bataille de France, à travers quatre exemple particuliers.

On découvre ainsi à travers ces pages les combats vécus par l'adjudant Romey, as aux 5 victoires du GC III/2, l'adjudant Gagnaire, as du GC III/1, le Capitaine Jean Assollant du GC III/6, et le Commandant Hertaut du GC I/4.

Cet étonnant petit ouvrage de 40 pages seulement, regroupe de manière très synthétique, une vue des nécessités et contraintes pour l'organisation d'une armée de l'air moderne. Le ou les auteurs, malheureusement inconnus, font preuve d'une clarté étonnante sur ce qu'est l'armée de l'air d'alors, et d'une clairvoyance surprenante à propos de ce qu'elle devrait être ou devenir, y compris dans ses besoins futurs en matériels. (je rappelle que l'Armée de l'Air vient d'être créé comme une arme indépendante, on est en 1933).

Les pérégrinations de Roger HENRARD racontées par lui même.

D'un naturel calme, doux, mais doté d'une volonté sans faille et quelquefois d'un culot monstre, il narre ici sa vie d'aviateur, ses combats, ses folies et plus encore avec beaucoup de simplicité et d'humour. L'histoire d'un vrai doux dingue de l'aviation (dans le bon sens du terme !)

A noter, à l'époque et à sa demande, les droits d'auteurs de la vente du livre ont été versés à l'association "Les ailes brisées".
 

L'auteur raconte ici ses souvenirs et impressions de pilote de l'escadrille C-66 (renommée plus tard, SOP66 puis BR66) dont le surnom est "l'escadrille des éperviers". Créée en 1915, cette escadrille est l'une des toute première qualifiée "d'escadrille de bombardement". L'auteur commence sa narration à son arrivée à l'escadrille et son "baptême" au dessus de Metz avec les moyens du bord, quelques bricolages d'obus avec des avions pas vraiment conçus pour ça. Le récit se finit en juillet-Aout 1917, au début de la seconde bataille de Verdun.