Mère de famille, femme de gendarme, Michèle Decker aurait mené l'existence ordinaire de n'importe quelle femme au foyer si ne s'était révélé à elle un don extraordinaire. Le 12 avril 1984, alors qu'elle vient d'hériter de la maison où elle a passé son enfance, elle a la vision de son grand-père décédé treize ans plus tôt. Désormais, il lui faut concilier sa vie quotidienne avec ces présences invisibles, toujours plus nombreuses, apprendre à les apaiser, à recevoir leurs messages, à transmettre les informations qu'elles lui envoient.