Qui étaient les gnostiques ? Simplement des hérétiques ? Ou bien ont-ils, par leurs questionnements, contribué à la redéfinition de la religion monothéiste ? Relevaient-ils du judaïsme, du christianisme, du mandéisme, du sabéisme, du manichéisme ? Comment le mouvement gnostique a-t-il influencé le développement du christianisme dans l’Antiquité ? L’Église a-t-elle rejeté ce mouvement ? L’ouvrage de Serge Hutin répond à ces questions essentielles.

On les évoque souvent… Les connaît-on vraiment ? Qui furent les alchimistes ? Quelle est donc cette « science » secrète qu’ils se transmettaient de maître à disciple ?

Depuis la plus haute Antiquité, il a existé une succession ininterrompue d'organisations plus ou moins secrètes, et, à ce titre, intrigantes. Certaines, à l'image des Carbonari, de la mafia ou du Sinn Fein irlandais, poursuivent un objectif politique et / ou criminel. D'autres, initiatiques, s'inscrivent dans une tradition ésotérique ancestrale. Leurs adeptes - templiers, Rose-Croix, francs-maçons... - sont passés du statut de profane à celui d'" initié " grâce à une série d'actes symboliques et de cérémonies. Ils cultivent les " sciences mystérieuses ".

L’alchimie ne saurait se résumer à l’art de la transmutation des métaux, cette pseudo-science du Moyen Âge dont le but était la fabrication de l’or.

Dans cet ouvrage, Serge Hutin retrace l’histoire d’un art étrange, qui ne doit pas être réduit à une activité de charlatans et d’escrocs, et qui a tenté, pendant des siècles, de réaliser une union des plus paradoxale : celle de la technique et de la mystique.

L'espèce humaine et sa civilisation doivent-elles beaucoup à des visiteurs - les Anciens Astronautes, comme on les désigne souvent - venus des étoiles dans un passé très lointain ? Il y a seulement quelques années, cette question aurait paru une spéculation de pure science-fiction.

Le Matin des magiciens, introduction au réalisme fantastique est un livre de Louis Pauwels et Jacques Bergier publié en octobre 1960 et se présentant comme une « introduction au réalisme fantastique ».

Le mystère est partout, permanent, proche ou lointain...

Dans le bref fait divers qui relate la disparition d'un paysan du Tennessee - qu'on ne retrouvera jamais -, dans la nouvelle spectaculaire d'un navire, d'un avion "perdu" corps et biens. Ni épave ni cadavre. Rien.

Mystère des champs de fouilles où l'homme est en quête de son passé : dans les nécropoles étrusques, les grands prêtres parlent aux archéologues à travers vingt-sept siècles...

Le sixième de cet auteur dont on a dit pertinemment: "l'oeuvre de Robert Charroux est aussi dangereuse qu'utile. Utile par son aspect révélateur et corrosif, nuisible par ses côtés confusionnistes. Et après tout, ce n'est pas tous les jours que l'on trouve un tel iconoclaste. Les érudits y trouveront leur bonheur, les chercheurs aussi, tant pis pour les égarés". (M. Ducourau, Juvénal, 13-2-70). Avis aux éventuels curieux.

« L’homme d’aujourd’hui n’a rien inventé », déclara Robert Charroux. « Tout a déjà vécu, expérimenté, subi,, par des Ancêtres Supérieurs : les hommes ont construit jadis des fusées sidérales ; ils ont voyagé dans le cosmos ; ils ont connu des ondes hertziennes, les moteurs à réction, les moteur s solaires, l’énergie atomique ; ils ont irradié notre globe et détérioré l’espèce humaine.