A mesure que les sciences désagrègent l’idée d’un univers simpliste, “grande mécanique” construite soit par un Dieu créateur soit par le Hasard, c’est une conception gnostique qui s’impose, une ouverture sur le cosmos. En dehors d’un cercle restreint, toute idée d’un contact avec d’autres civilisations apparaissait folle, en 1962, quand Jean Sendy a publié ses Cahiers de cours de Moïse : d’excellents esprits doutaient encore de la possibilité d’atteindre la lune.
En 1970, on commençait à savoir que de prestigieux chercheurs étaient lancés dans un programme de “contact avec d’autres intelligences”... d’un premier contact. Dans son Ère du Verseau, Jean Sendy développait, et appuyait d’arguments nouveaux sa thèse initiale, celle d’un deuxième contact à établir avec la civilisation galactique dont il postule qu’elle aurait laissé une base aménagée, dans la cavité lunaire détectée par la NASA.
En 1975, l’éventualité d’un contact avec d’autres civilisations est bien admise dans les milieux scientifiques. Avec ses Temps messianiques, Jean Sendy apporte des données nouvelles à l’appui de sa thèse : la vitesse de la lumière est donnée dans la Bible ; l’orbite lunaire n’est plus la même qu’il y a vingt mille ans, et elle est trop “privilégiée” pour être naturelle ; l’astrologie, devenue superstition, a été une science dont on redécouvre les bases solides ; des chercheurs de premier plan soumettent le phénomène OVNI à une étude statistique, cependant que les travaux des bio-informaticiens permettent d’envisager une explication rationnelle à des “objets” dont l’existence concrète n’est pas nécessaire à leur observation par des témoins de bonne foi.
Les Temps messianiques font le point sur l’ensemble des recherches et des découvertes d’aujourd’hui, à travers lesquelles Jean Sendy fait apparaître un lien logique entre l’homme et l’univers.
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