Le nouvel ouvrage de l’historienne Bleuette Diot se penche sur les preuves scientifiques que nous apportent aujourd’hui la biologie moléculaire et la génétique ; preuves qui permettent enfin de valider l’hypothèse que défend l’auteure depuis plusieurs années, à savoir :
l'homme est un OGM
Si l’émergence de la vie sur Terre reste le fruit du hasard, celle de l’homme résulte d’après moi d’un interventionnisme biogénétique. Mon ami, le docteur en biologie moléculaire Pietro Buffa, affirme sans détour dans son livre Les gènes manipulés d’Adam :
« Quelle que soit la manière dont ces premiers hominidés modernes seront classés, une chose est certaine : aucune lignée de descendance animale n’a connu autant de nets changements dans un intervalle de temps aussi court que celui qui caractérise la phylogenèse de l’homme. Il est malheureusement impossible de vérifier directement ce qui est arrivé à nos ancêtres, mais le « gradualisme » (modifications légères, nombreuses et successives), base de l’hypothèse interprétative du processus bio-évolutif formulé par Darwin, ne se rencontre absolument pas dans le processus d’hominisation. »
Une civilisation exogène aurait-elle induit l’hominisation ? Même si cette hypothèse soulève l’opposition farouche des milieux académiques, notre histoire biologique mérite d’être reconsidérée avec des yeux neufs, sans a priori et sans tabous. Loin des considérations religieuses et des diktats de la science officielle, cet ouvrage explore de nombreuses pistes de réflexions. Ce long travail d’enquête permettra-t-il de trancher si oui ou non l’homme moderne est bien le résultat d’une création artificielle, voire même son aboutissement ?
Seul le lecteur sera à même d’en juger.
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