♦Livre♦
Les chroniques du Girkù, Tome 3 : Le réveil du Phénix
55.
♦Liens♦
Magazine "Nexus" francophone n°50, mai-juin 2007 - Anton Parks : L'humanité est une création extraterrestre
(Photo)
Cylindre sumérien tout à fait exceptionnel qui démontre distinctement la connexion reptilienne de l’humanité. Nous voyons à gauche un être humain et, à ses côtés, des hybrides humano-reptiliens, avec ou sans queues. Un Gina’abul ailé et cornu, symbolisant sans doute la royauté (Usumgal ou Kingu), se mêle à l’ensemble. La filiation "divine" de l’être humain et les multiples mélanges que l’humanité a pu subir par les "dieux" sont présents dans des passages de la Bible comme en Genèse 6.2 où les Bené Elohim (fils des Elohim = les Nungal d'Enki) choisirent des femmes parmi les filles des hommes…
Karma One : La statuaire sumérienne, égyptienne mais également des anciennes civilisations sud américaine est composée souvent de "Dieux" hybrides à tête ou corps d’animaux. On a pensé au départ qu’il s’agissait de représentations symboliques des forces et archétypes de la nature. A la lecture du livre, on peut se demander si cette statuaire n’est pas une représentation, certes symbolique, mais malgré tout fidèle à ce que les artistes ont vu ou entendu ? D’autre part, lorsqu’on lit certaines tablettes sumériennes ou regarde les statues, la représentation des Anunna sous la forme reptilienne semble s’imposer. Pourquoi Sitchin en fait-il des entités humanoïdes non reptiliennes ? Mis à part Boulay et son livre "Flying Serpents and Dragons", les auteurs semblent faire l’impasse de cette information. Pourquoi ? existe-t-il d’autres auteurs ou mêmes des archéologues ou spécialistes en textes sumériens qui ont remarqué le caractère reptilien des "divinités" ?
Anton Parks : Je n'ai aucune idée de la raison pour laquelle M. Sitchin ne semble pas avoir compris que les "dieux" sumériens, qui font partie de la famille des Anunna, sont de type reptilien, surtout que leurs épithètes sont souvent en rapport avec les reptiles. Il y a aussi les nombreux sceaux qui ne laissent aucun doute possible quant à la filiation reptilienne entre les dieux et l'humanité. Il est d'ailleurs assez plaisant de constater que de nombreux admirateurs de l'œuvre de Sitchin semblent en accord avec la thèse reptilienne, alors que l'intéressé ne l'est pas du tout.