By Anarkia333 |
2007

Barbara Marciniak
David Icke
Immanuel Velikovsky
Kyle Griffith
►René Boulay
Valérie Barrow
Zecharia Sitchin

 

Barbara Marciniak


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Karmapolis - décembre 2005
Un peu plus tard, les Amašutum se joignirent aux Kadištu (planificateurs) de notre univers. Elles ont toujours été plus sages que leurs frères masculins et sans doute était-ce pour elles la meilleure façon de racheter leurs erreurs passées. C'est d'ailleurs après tous ces événements que les chroniques que je rapporte se situent précisément. Je pense que Barbara Marciniak a été contactée par des Amašutum de Mulmul (les Pléiades). J'ai parcouru ses trois premiers ouvrages et je dois dire que les messages qu'elle semble avoir reçus sont complémentaires à l'histoire que je relate. Nos sources semblent communes. A la différence que Marciniak se concentre en grande partie sur les événements à venir alors que je décris des épisodes anciens…  mais, semble t-il, toujours d'actualité.

Comme le dit si bien Marciniak, la Terre est une bibliothèque vivante. Notre système solaire est au carrefour de routes importantes qu'empruntent les planificateurs depuis la nuit des temps. Avec l'arrivée des Gina'abul, cet endroit est devenu une zone de libre arbitre. Beaucoup considèrent que c'est une chance de pouvoir s'incarner sur Terre aujourd'hui parce que l'instruction y est intensive et tout à fait inhabituelle.

Magazine "Nexus" francophone n°50, mai-juin 2007 - Anton Parks : L'humanité est une création extraterrestre
Il existe effectivement d'autres auteurs qui traitent du sujet reptilien. Je connais Boulay, je recommande vivement son ouvrage "Flying Serpents and Dragons" aux lecteurs. Il y a, bien entendu, David Icke qui examine avec beaucoup de soins le sujet, mais qui semble se focaliser sur le côté "mauvais" des reptiliens. J'ai cependant beaucoup d'estime pour ses travaux. Et, bien entendu, Barbara Marciniak qui a composé quatre ouvrages sur les reptiliens, en se concentrant toutefois sur le côté planificateur de ces derniers. Il doit exister d'autres auteurs qui traitent de ce sujet, mais je ne les connais pas.

Interview d'Anton Parks - Questions posées par ses lecteurs de l'ancien forum officiel © janvier 2011
Au début du T2, Sa’am découvre dans l'ancien cristal de sa mère que des êtres des étoiles avaient manipulé génétiquement les êtres humains sur Terre dans des temps reculés, mais sans savoir pourquoi, ni dans quel but. Ce qui me semble vraiment intéressant dans le livre de Valérie Barrow, ce sont les différents témoignages qui s'y trouvent et qui expliquent que la race humaine est une chance et qu'elle constitue une grande possibilité d’évolution pour la race reptilienne, les humains étant majoritairement des incarnations des âmes précédemment incarnées chez les reptiliens. Cette idée se trouvait également bien avant chez Barbara Marciniak, qui je vous le rappelle, est la première à avoir mentionné les reptiliens, bien avant David Icke par exemple.

Anton Parks : A part l'égyptologue Dorothy Eady (Omm Sety) dont le cas relèverait d'une ancienne incarnation, personne que je connaisse, mais cela ne veut pas dire qu'il n'en existe pas. Il doit y avoir des personnes connectées à des sources d'informations concernant le passé, comme par exemple celle qui concerne la voie du channeling. Ce qui pose problème dans ce genre de cas, c'est le manque cruel d'informations et de détails dus au filtre propre du channeling. Un channel reçoit toujours ce que l'entité ou le groupe extérieur à notre dimension souhaite lui transmettre. Cette connexion se réalise sous certaines conditions et les informations sont éparses, fragmentaires et souvent contradictoires, ce qui est spécifique au channeling. C'est pourquoi je me méfie du channeling, mais il existe des gens sérieux dans ce domaine comme Barbara Marciniak et Valérie Barrow pour son Contacts avec les Pléiadiens.
J'ai expliqué de nombreuses fois mon expérience dans des interviews disponibles sur notre site. Elle ne relève pas du channeling pour ces raisons et d'autres pour lesquelles j'ai toujours été clair.

 

David Icke


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Magazine "Les Grands Mystères des Sciences Sacrées", n°20, novembre 2007
Avec le temps, que sont devenues ces diverses races d’extraterrestres ? Sont-elles retournées dans leur système planétaire respectif ? Selon David Icke (entre autre), elles seraient toujours présentes sur Terre, mais résideraient dans une dimension parallèle invisible d’où elles "parasiteraient" les consciences humaines. Nous serions toujours leurs esclaves soumis. Leur descendance issue d’un croisement hybride humain/reptile serait cette noblesse "noire" qui détiendrait tous les pouvoirs et les moyens financiers sur notre planète et qui se servirait des religions et des dogmes scientifiques pour asservir une humanité considérée comme du vulgaire bétail. Quelle est votre opinion à ce sujet ? Pouvons-nous espérer échapper un jour à leur emprise ? 

Ces races sont sans doute toujours présentes. Les Gina’abul (lézards) provenant de la Grande Ourse et des Pléiades ont payé le prix fort pour extorquer la Terre aux planificateurs. Ils n’étaient que quelques milliers de survivants à l’issue des combats. A la fin de cette guerre, il y a près de 300.000 ans, il a été instauré une sorte d’embargo planétaire qui empêche les "vainqueurs" de quitter la Terre et le système solaire. Dès lors, les Gina’abul de type Anunna ont été obligés de cohabiter avec les Gina’abul Kingú (royaux) qui occupaient déjà les lieux depuis la nuit des temps. La plupart d’entre eux se sont effectivement mélangés avec les humains. Certains de ces descendants sont certainement ceux qui détiennent en coulisse le pouvoir. Mais, il faut cependant se faire à l’idée que l’humanité entière, sans exception, descend en partie des Gina’abul ! L’humain tel que nous le connaissons est le fruit de multiples manipulations génétiques. David Icke parle très bien de tout cela dans ses ouvrages. Malgré la profonde affection et le respect que je porte à cet enquêteur de talent, je déplore que Icke se soit focalisé uniquement sur les reptiliens hostiles. Lorsque nous lisons ses enquêtes, l’ensemble des reptiliens semble totalement invulnérable et malveillant alors que ce n’est pas le cas. [ndlr Depuis 2008, David Icke semble travailler sur l'idée que tous les reptiliens ne sont pas systématiquement hostile]. Par exemple, ceux qui occupent la cavité centrale de la Terre sont plutôt amicaux contrairement à ceux qui vivent dans des bases souterraines ou encore dans les dimensions inférieures ou parallèles. Il faut savoir que les Gina’abul sont toujours en guerre entre eux. L’enjeu des Gina’abul "hostiles" étant la domination de l’espèce humaine et de la Terre et celui des "moins hostiles" étant le contraire, c’est-à-dire la préservation des humains et de la planète. 
Le seul moyen pour se sortir de l’emprise des "malveillants" serait de reconnaître leur existence et de propager mondialement cette information. Un changement de fréquence s’opère progressivement sur Terre depuis 1999. Les jours semblent se raccourcir à vue d’œil. Regardez tout ce que vous pouviez effectuer il y a encore quelques années en une journée et observez ce qu’il en est aujourd’hui. La fréquence de la Terre se modifie notablement et le temps parait s’accélérer. Sur nos montres, les heures semblent les mêmes, mais d’une façon spatio-temporelle, ce n’est plus pareil. Je suis convaincu que l’espèce humaine a été programmée sur la fréquence terrestre. Si cette dernière vient effectivement à se modifier, il est évident que le genre humain devrait se modifier avec elle, du moins ceux qui sont en accord avec la Terre. 

 

Immanuel Velikovsky


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Magazine "Les Grands Mystères des Sciences Sacrées", n°20, novembre 2007
Comme je l’indique dans Adam Genisiš, je ne remets pas en cause l’éventuelle existence d’un astre errant qui pourrait très bien perturber le système solaire dans un avenir non déterminé. Ce que je remets clairement en cause c’est le concept d’un astre vagabond dénommé Neberu (Nibiru) qui serait la planète des Anunna ! Le seul lieu de naissance associé sur les tablettes aux dieux sumériens est le Dukù ("Saint Monticule") et non Neberu. Ce Dukù est affilié à une constellation qui accompagne très souvent les divinités lorsqu’elles sont gravées sur argile. Cette constellation a été identifiée par de multiples spécialistes de l’Orient Ancien, il s’agit de Mulmul : les Pléiades. Voici donc le seul lieu en rapport certain avec le panthéon sumérien et il n’y en a aucun autre ! Je passe suffisamment de temps (130 pages) dans Adam Genisiš à démontrer cette réalité et à prouver que le Neberu mésopotamien et le Neb-Heru égyptien ne sont rien d’autre que la planète Vénus avant qu’elle ne se positionne définitivement dans notre système solaire. Le seul astre perturbateur que le système solaire ait connu ces derniers 9.000 ans est la planète Vénus. L’auteur Immanuel Velikosky l’a très bien démontré dans son ouvrage remarquable "Mondes en Collision". Mes investigations personnelles étalées dans Adam Genisiš ne font que confirmer sa théorie.

 

Kyle Griffith


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Interview "Grands Mystères des Sciences Sacrées", n°25 - février 2009 - L’Après-vie et les créateurs
Rédaction : Certains auteurs comme Kyle Griffith semblent affirmer assez ironiquement que nous vivons dans un univers où le "Créateur" semble avoir abandonné sa création. Justement, la cosmogonie que vous détaillez dans vos ouvrages soulève certaines questions fondamentales : Pourquoi les Elohims, ceux que l’on pourrait qualifier de "bons Dieux" ne sont-ils pas plus interventionnistes pour épargner à l’humanité cet esclavage alors qu’aux débuts de l’histoire de l’humanité - du moins celle que nous connaissons un peu grâce à l’archéologie - les "Dieux Imposteurs" n’ont pas hésité à être directement interventionnistes dans le cours des affaires humaines ; apparaissant en chair et en os si on peut dire ? En termes très simples : pourquoi la "Source" de toute chose donne-t-elle l’impression de nous avoir abandonnée et reste t-elle invisible à nos yeux ?

Anton Parks : Je ne suis pas d'accord avec cette idée que la Source nous aurait abandonnée. Mais je comprends parfaitement pourquoi cette question hante les esprits. Je vais m'efforcer de démontrer qu'il n'en est rien. Mais avant de démarrer cet article, soyons bien d'accord : tout individu a le choix. Le choix de dire OUI, le choix de dire NON. L'option de CROIRE ou de ne PAS CROIRE. C'est totalement identique dans l'invisible. 
La Terre a été décrétée bibliothèque vivante il y a cela des millions et des millions d'années. Les planificateurs qui sont responsables de la majorité des espèces vivantes de la Terre semblent s'être désengagées simplement parce qu'elles n'interviendraient plus directement dans les affaires de l'humanité. La société humaine rencontre de grandes difficultés aujourd'hui, alors les yeux rivés vers le ciel, les êtres de bonnes volontés élèvent leur voix et implorent le ciel : "où es-tu ?". 

Avant de se poser la question de savoir où se cacherait Dieu, il serait préférable de se demander plus simplement où se trouve notre famille, nos racines, les êtres chers que l'on a connus et qui ne sont plus là. Mieux encore, nous pourrions également nous demander où se trouvent réellement ces gens qui nous parlent parfois dans l'invisible et que nous avons la sensation de connaître. Vous devez savoir de quoi je parle, vous avez sans doute déjà eu cette impression étrange d'être écouté et pourquoi pas conseillé, en tout cas suggéré. Faut-il en avoir peur ? Sont-ils des anges ? Les êtres inter-dimensionnels font partie de notre environnement quotidien. Ce n'est pas parce que nous les voyons pas qu'ils n'existent pas. Ne pas admettre cette réalité, c'est ne pas croire en l'après vie. Ne pas considérer l'après vie, c'est ne pas croire en la Source de toute chose que l'on pourrait dénommer Dieu. La Source ne nous a pas abandonnés, mais c'est nous qui l'avons abandonnée…

Rédaction : Selon l’auteur américain Kyle Griffith mais aussi selon Laura Knight qui a consacré une partie de ses livres au phénomène de l’intrusion extraterrestre, aux enlèvements extraterrestres et de leurs présences multidimensionnelles, cette mise en esclavage de l’âme humaine se poursuit au-delà même de sa vie terrestre et incarnée dans l’autre dimension, celle de l’après vie, celle de la "vie après la mort". Ces deux auteurs ont obtenu à ce sujet des informations étranges, inquiétantes, cohérentes, assez complexes et qui semblent se recouper : nos croyances dans cette vie terrestre conditionnent notre vision du monde et donc notre façon de mourir. En mourant, nos âmes vont rejoindre ces entités qui se seraient regroupés sous la forme de ce que Griffith appelle les groupes théocratiques, consolidant leur puissance grâce à l’énergie que nous leur apportons. Qu’en pensez-vous ?

Anton Parks : Votre article explore des thèmes que je souhaite développer dans un prochain ouvrage qui s'intitulera La Pierre du Destin. C'est un sujet passionnant qui intéresse le plus grand nombre. Nous sommes tellement déconnectés de la Source des origines que le commun des mortels ne sait pas grand chose sur le thème de la vie après la mort. Beaucoup d'interrogations sans véritables réponses, tout du moins satisfaisantes. Les différentes organisations religieuses de la Terre le savent très bien et profitent de ce manque d'information pour manipuler les masses et apporter leurs solutions narcissiques à peines voilées. De cette ignorance collective, une énergie importante est soutirée afin d'alimenter des égrégores qui n'ont bien souvent qu'un seul but : la soif de puissance. Vous faites bien d'interroger sur ce sujet, et pour votre dossier, des personnes qui sont en dehors des cercles de pouvoir. 

Je connais en partie le travail de Kyle Griffith. Je suis partiellement en accord avec lui concernant le modèle hiérarchique de l'univers et des différents plans astraux. Par contre, les groupes d'âmes apparents qu'il dénomme "groupes théocratiques" sont pour moi simplement des familles d'âmes possédant des niveaux de connaissances différents, voir des éléments qui se sont écarté de leur famille céleste pour former des groupes dissidents. Cela implique aussi bien des âmes non incarnées que des êtres extraterrestres inter-dimensionnels. 
De mon point de vue, ces familles ou clans ne s'organisent pas tout à fait de la même façon que Griffith le pense. Si j'ai bonne mémoire, sa vision de groupe est assez conforme à celle qui est appliquée au monde 3D dans lequel nous vivons sur Terre avec des dominants et dominés. Cette organisation conflictuelle peut être applicable seulement entre différents groupes d'âmes, mais pas au cœur d'une même famille. C'est la clé d'une bonne compréhension du problème. Je parle bien hors incarnation terrestre, car nous savons que lors d'une incarnation en 3D, des membres d'une même famille céleste peuvent très bien s'attirer comme des aimants et se soutirer de l'énergie sans s'en rendre compte. On trouve assez souvent un ou plusieurs membres d'une même famille céleste dans l'entourage d'un incarné, cela permet de mieux supporter des missions de vie parfois difficiles. Mais cela ne veut pas dire pour autant que ces individus auront les mêmes goûts et objectifs. Par exemple, si l'un croit aux extraterrestres, il n'est pas dit que son frère ou sa sœur céleste y croit aussi en 3D. Il s'agit plutôt d'une fraternité qui ne s'explique pas. 

 

René Boulay


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Karmapolis - mai 2007
Karmapolis : Dans le livre Rene Andrew Boulay, "Flying Serpents and Dragons", l’auteur affirme que les premières expériences pour créer l’homme en tant que main d’œuvre furent supervisées par Enki et Ninmah-Ninhursağ. Les être ainsi créés possédaient beaucoup plus de traits reptiliens puisqu’il est dit dans les textes anciens que l’hybride ainsi créé le fut à l’image de Dieu, de leurs créateurs. Boulay souligne qu’il est intéressant de noter qu’avant le nom de chaque hybride ainsi créé, les Sumériens plaçaient le terme "Dingir", un signe qui symbolise la divinité, "le fait que nos ancêtres étaient considérés comme divin, au moins à un certain degré" (Boulay, p 117, Man Created in the Image of the Reptile God"). C’est en donnant à l’homme singe primitif "le sang reptilien ou saurien" que les Anunna ou Nefilim ont donné à l’homme une part de leur divinité, rapporte encore Boulay qui se base sur plusieurs textes comme la Haggadah et certaines tablettes sumériennes où l’on trouverait parait-il des descriptions clairs des premiers hommes dans lesquelles ils ont des traits reptiliens. Que pensez-vous de cette assertion ?`

Anton Parks : Je pense simplement qu'il s'agit de matériels primitifs et intermédiaires, issus de la version Ádam Dili (Homo Eructus) qui procura l'Ádam Min (l'Homo Sapiens = Caïn) au clan Yahvé (Ušumgal-Anunna). Mais il ne s'agit en aucun cas du Neanderthal (Abel) qui, lui, n'a jamais été considéré comme ayant "l'animalité" des Yahvé, mais au contraire, la connaissance des Elohim. Tout cela est une histoire de clonage et de pouvoir procuré à l'aide de la génétique. Ce ne fut pas simplement une guerre physique telle que nous l'entendons aujourd'hui, mais aussi une guerre génétique, une course au meilleur produit qui possédera le meilleur génotype qui fera de lui un ouvrier servile (Yahvé) ou bien un ouvrier "spirituel" et affranchi (Elohim)…

Interview "Grands Mystères des Sciences Sacrées", n°25 - février 2009 - L’Après-vie et les créateurs
Il existe effectivement d'autres auteurs qui traitent du sujet reptilien. Je connais Boulay, je recommande vivement son ouvrage "Flying Serpents and Dragons" aux lecteurs. Il y a, bien entendu, David Icke qui examine avec beaucoup de soins le sujet, mais qui semble se focaliser sur le côté "mauvais" des reptiliens. J'ai cependant beaucoup d'estime pour ses travaux. Et, bien entendu, Barbara Marciniak qui a composé quatre ouvrages sur les reptiliens, en se concentrant toutefois sur le côté planificateur de ces derniers. Il doit exister d'autres auteurs qui traitent de ce sujet, mais je ne les connais pas.

 

Valérie Barrow


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Interview d'Anton Parks - Questions posées par ses lecteurs de l'ancien forum officiel © janvier 2011
Anton Parks : Désolé s'il manque des maillons à cette histoire, mais c'est déjà formidable de pouvoir y avoir accès. Comme je ne cesse de le formuler, les Kingu ont un aspect quasi identique à l’être humain. Il n’est pas étonnant qu’il n’en soit pas fait état dans le livre de Valérie Barrow puisqu'ils ne se montrent pratiquement jamais. Les Dinoides pourraient représenter une branche archaïque de Gina’abul ancienne souche. Les maillons qui manqueraient, comme vous le précisez, sont relatifs aux périodes de temps considérables qui se sont écoulées. Je ne pense pas qu'il fasse faire un lien entre le vaisseau Réxégéna et le travail de Nammu qui me semble postérieur, donc qui se situerait entre Réxégéna et le T1.

Au début du T2, Sa’am découvre dans l'ancien cristal de sa mère que des êtres des étoiles avaient manipulé génétiquement les êtres humains sur Terre dans des temps reculés, mais sans savoir pourquoi, ni dans quel but. Ce qui me semble vraiment intéressant dans le livre de Valérie Barrow, ce sont les différents témoignages qui s'y trouvent et qui expliquent que la race humaine est une chance et qu'elle constitue une grande possibilité d’évolution pour la race reptilienne, les humains étant majoritairement des incarnations des âmes précédemment incarnées chez les reptiliens. Cette idée se trouvait également bien avant chez Barbara Marciniak, qui je vous le rappelle, est la première à avoir mentionné les reptiliens, bien avant David Icke par exemple.

Anton Parks : A part l'égyptologue Dorothy Eady (Omm Sety) dont le cas relèverait d'une ancienne incarnation, personne que je connaisse, mais cela ne veut pas dire qu'il n'en existe pas. Il doit y avoir des personnes connectées à des sources d'informations concernant le passé, comme par exemple celle qui concerne la voie du channeling. Ce qui pose problème dans ce genre de cas, c'est le manque cruel d'informations et de détails dus au filtre propre du channeling. Un channel reçoit toujours ce que l'entité ou le groupe extérieur à notre dimension souhaite lui transmettre. Cette connexion se réalise sous certaines conditions et les informations sont éparses, fragmentaires et souvent contradictoires, ce qui est spécifique au channeling. C'est pourquoi je me méfie du channeling, mais il existe des gens sérieux dans ce domaine comme Barbara Marciniak et Valérie Barrow pour son Contacts avec les Pléiadiens.
J'ai expliqué de nombreuses fois mon expérience dans des interviews disponibles sur notre site. Elle ne relève pas du channeling pour ces raisons et d'autres pour lesquelles j'ai toujours été clair.

Ma Tudi (via le forum) : Dans les premiers temps de l'existence du Forum, Anton avait répondu à Curtis au sujet du livre sur le Réxégéna, de Valérie Barrow, et il lui avait dit être en parfait accord avec cette histoire (tensions diplomatiques puis guerre entre Kadistu et reptiliens au sujet du projet pour la Terre, puis intervention des Urmah, etc.). Anton est-il d'accord avec le portrait-type des Urmah qui est reproduit dans le livre ?
Anton Parks : Le dessin n’est pas très fin, mais il y a tout de même une ressemblance… Comme je l'ai évoqué plus haut, c'est un livre intéressant qui semble rapporter certains événements qui se situeraient avant le T1 des Chroniques.

 

Zecharia Sitchin


Video


 

Anton & Hanael Parks - NURÉA TV (2019)
■■■« « La Vérité sur nos Origines » avec Anton Parks et Romain Prioux - NURÉA TV (2020) » (2h44min/2020)■■■

1h16. Aucun textes qui parle de Nibiru, erreur de Sitchin 

 


Livre


 

Le Testament de la Vierge
31. Zecharia Sitchin

 

Eden : la vérité sur nos origines
89. Zecharia Sitchin et Nibiru
Livre avec faux Document : “The Lost Book of Enki - Memoirs and
Prophecies of an Extraterrestrial Gad”

 

Le choix atlante : L'origine secrète du mal planétaire actuel
148. LA « THÉORIE » DES ANUNNAKIS

149. trois essais ratés du Popol-Vuh

150. Avis de Delaage sur Sitchin/Anunnaki

 


Liens


 

Magazine "Nexus" francophone n°50, mai-juin 2007 - Anton Parks : L'humanité est une création extraterrestre
Karma One : La statuaire sumérienne, égyptienne mais également des anciennes civilisations sud américaine est composée souvent de "Dieux" hybrides à tête ou corps d’animaux. On a pensé au départ qu’il s’agissait de représentations symboliques des forces et archétypes de la nature. A la lecture du livre, on peut se demander si cette statuaire n’est pas une représentation, certes symbolique, mais malgré tout fidèle à ce que les artistes ont vu ou entendu ? D’autre part, lorsqu’on lit certaines tablettes sumériennes ou regarde les statues, la représentation des Anunna sous la forme reptilienne semble s’imposer. Pourquoi Sitchin en fait-il des entités humanoïdes non reptiliennes ? Mis à part Boulay et son livre "Flying Serpents and Dragons", les auteurs semblent faire l’impasse de cette information. Pourquoi ? existe-t-il d’autres auteurs ou mêmes des archéologues ou spécialistes en textes sumériens qui ont remarqué le caractère reptilien des "divinités" ? 

Anton Parks : Je n'ai aucune idée de la raison pour laquelle M. Sitchin ne semble pas avoir compris que les "dieux" sumériens, qui font partie de la famille des Anunna, sont de type reptilien, surtout que leurs épithètes sont souvent en rapport avec les reptiles. Il y a aussi les nombreux sceaux qui ne laissent aucun doute possible quant à la filiation reptilienne entre les dieux et l'humanité. Il est d'ailleurs assez plaisant de constater que de nombreux admirateurs de l'œuvre de Sitchin semblent en accord avec la thèse reptilienne, alors que l'intéressé ne l'est pas du tout.

Karmapolis - décembre 2005
Karmaone : Zecharia Sitchin a présenté les «Anunnakis» comme une seule race, un groupe monolithique composé de plusieurs clans d’une même famille qui s’opposent, Enki s’opposant à Enlil, etc.. Or, lorsqu’on lit votre livre, on s’aperçoit que l’histoire est bien plus complexe et que ces entités qui seraient venues sur terre, ou qui s’y seraient intéressée, représenteraient plusieurs races dissemblables dont certaines proviendraient même d’autres dimensions : il y a la race reptilienne, en général représentée par le terme Gina’abul, race comprenant les Sutum, les Amasutum, les Kingu, les Musgir, etc.
Pourriez-vous détailler ces clans, ces différentes races et nous expliquer brièvement si ces créatures ont des caractéristiques physiques différentes des nôtres et d’où elles viennent. Quel est le statut précis des Anunnakis ? Pourquoi les tablettes sumériennes évoquent particulièrement ces entités et d’où vient ce nom, les Anunnakis.


Anton Parks : J'ai du respect pour Zecharia Sitchin, il est un précurseur en la matière. Grâce à lui, bon nombre de personnes se sont familiarisées avec l'univers mésopotamien. Son esprit de déduction et ses interprétations l'ont souvent mené à des conclusions très intéressantes. Cependant, lui comme les autres auteurs se sont-ils attachés à l'origine des Nungal (NDR : race de planificateurs reptiliens mâles) d'Enki (les Igigi en akkadien) ? Se sont-ils intéressés aux souches Kingú, Imdugud (Anzu) et Mušgir ? S'ils l'avaient fait un tant soit peu, ils auraient très vite compris qu'il s'agit d'éléments séparés appartenant à la même lignée que les Anunna, mais pour la plupart en conflit avec ces derniers. Les autres termes comme Amašutum, Mìmínu, etc… ne semblent pas présents sur les tablettes, cependant, je donne clairement leurs définitions dans mon livre. 

Magazine "Nexus" francophone n°50, mai-juin 2007 - Anton Parks : L'humanité est une création extraterrestre
Dans votre second tome, vous démontrez que la thèse de Z. Sitchin selon laquelle, Neb-Heru, la planète des Anunna, une exo-planète qui reviendrait tous les 3.600 ans dans les parages de la terre en y provoquant diverses catastrophes, serait erronée et même basée sur aucun document connu. Selon vous, les Anunna seraient originaires des Pléiades et la planète qui aurait occasionné ces bouleversements (dont le déluge) serait Vénus (Mulge-Tab), l’ancien satellite de Mulge, l’astre des Kadištu (planificateurs), volontairement détruit par les opposants à la Source. Pourriez-vous préciser ces éléments et nous dire où se sont réfugiés les Kadištu après la destruction de leur planète ?

Ce n’est pas tout à fait cela. Puisque vous évoquez cette controverse, je me dois d’être le plus clair possible. Dans mon second ouvrage, je démontre que la tablette d’argile VA-243 dont s’est servi M. Sitchin pour échafauder sa thèse d’exo planète vagabonde n’est pas une tablette astronomique.

Z. Sitchin s'entête depuis son premier ouvrage "La 12ème planète" à faire croire aux lecteurs qu’un imposant planétoïde dénommé Neberu ou Nibiru serait la planète des "dieux" sumériens Anunna et que cette dernière croiserait la Terre tous les 3.600 ans. Le concept d’une planète errante dénommée Neberu et mère patrie des dieux sumériens est totalement absent des textes sur argile mésopotamiens !!

Il n’existe aucun texte qui prétend que Neberu est la planète des dieux Anunna, je dis bien aucun ! Tout le monde peut le vérifier – ce qui, manifestement, n’a pas été fait jusqu’à présent. J’insiste et le démontre dans mon dernier ouvrage. Je ne demande à personne de croire sur parole ce que j’ai pu recevoir en affirmant : "cette version est meilleure que n’importe quelle autre".

Par contre, je me dois d’insister sur le fait que M. Sitchin ne semble pas connaître la vérité, celle des tablettes qu’il prétend pourtant analyser. Dans le cas contraire, il aurait depuis longtemps donné les références desdites tablettes qu’une poignée de téméraires lui demande depuis de nombreuses années. M. Sitchin ne se serait pas non plus privé de placer de larges extraits de ces textes dans ses ouvrages. Or, si vous lisez bien, ce n’est pas le cas non plus. Il n’existe aucune allusion écrite comme : "Les Anunna de Neberu" ou "les dieux de Neberu" ou "ils descendirent de Neberu" ou encore "Ils avaient besoin d’or pour préserver l’atmosphère de Neberu", etc… Toute cette histoire ne repose sur rien de concret et n’est que pure théorie. Comme vous le voyez, c’est irritant, car la thèse extravagante de Sitchin est régulièrement et aveuglément évoquée dans de multiples magazines. Même certains médiums évoquent depuis quelques années un astre Neberu. Il faut croire que le goût du sensationnel et du catastrophisme est d’actualité !

​Z. Sitchin n’évoque jamais des dieux à l’apparence reptilienne. Comment expliquez-vous qu’il soit passé à côté de cette vérité ?

Aucune idée, tout le monde s’en étonne d’ailleurs. Ce concept doit sans doute le troubler. Je souhaite préciser que, malgré les apparences, je n’ai rien contre cet auteur. Je souhaite juste rétablir certaines vérités quelque peu escamotées. Malgré nos divergences et les points que je viens de soulever, je me dois de souligner que le travail de Z. Sitchin est important.

Karma One : Voici donc pourquoi vous différez nettement par rapport à la thèse de Sitchin pour qui, la 12ième planète, astre migrateur à longue ellipse, serait le lieu de résidence des Anunna. Les Anunna(ki) proviennent selon vos informations d’une autre constellation, n'est-ce pas ?

J'ai beaucoup de considération pour le travail de M. Sitchin. Nous travaillons sur un thème assez proche, mais nous n'utilisons pas du tout les mêmes méthodes. Je travaille à partir des informations que j'ai reçues et, par la force des choses, sur les textes anciens qui pourraient être en relation avec toute cette histoire. Sitchin travaille directement sur les textes anciens et cherche systématiquement à faire des rapprochements entre la Bible (et autres écrits rabbiniques) et les textes mésopotamiens. Sitchin prétend depuis le débuts de ses travaux que les Anunna(ki) proviendraient d'une planète qu'il dénomme Neberu, mais je ne cesse de dire que cette information est totalement inexacte ! Elle est fausse pour la simple raison que Sitchin prétend avoir élaboré sa thèse à partir des documents de l'Orient ancien, or cette information ne se trouve sur aucun de ces documents connus à ce jour. Je ne suis pas le seul auteur à relever ce fait. Il a été demandé plusieurs fois à Sitchin de nommer le matériel où il serait clairement indiqué que les Anunna proviendraient de Neberu, mais Sitchin n'a jamais pu le faire, car ces documents n'existent pas. Tout le monde peut vérifier ce fait avéré. La mythologie mésopotamienne est disponible dans divers ouvrages spécialisés. Ce genre de documents est consultable dans les meilleures bibliothèques des plus grandes villes du monde. Chacun pourra le constater par lui-même… Les Sumériens et Akkadiens n'ont jamais rien écrit de ce genre ! Au contraire, tous les textes mésopotamiens évoquent un unique lieu originel pour les Anunna(ki) qui est clairement dénommé Dukù et dont le sens est "monticule sacré" ou "saint monticule". Je situe ce lieu dans les Pléiades à partir des informations que j'ai reçues. Il n'y a aucun rapport entre Neberu et le Dukù, aucune assimilation de ces deux lieux sur les tablettes mésopotamiennes. Par contre, la présence des Pléiades se trouve être avérée par de nombreux spécialistes sur de multiples tablettes d'argile. Mis à part cette irritante confusion qui compose le fondement même du travail de Sitchin, je trouve son étude remarquable, même si je ne suis pas en accord avec cet auteur sur de nombreux points qu'il expose...

Karma One : La statuaire sumérienne, égyptienne mais également des anciennes civilisations sud américaine est composée souvent de "Dieux" hybrides à tête ou corps d’animaux. On a pensé au départ qu’il s’agissait de représentations symboliques des forces et archétypes de la nature. A la lecture du livre, on peut se demander si cette statuaire n’est pas une représentation, certes symbolique, mais malgré tout fidèle à ce que les artistes ont vu ou entendu ? D’autre part, lorsqu’on lit certaines tablettes sumériennes ou regarde les statues, la représentation des Anunna sous la forme reptilienne semble s’imposer. Pourquoi Sitchin en fait-il des entités humanoïdes non reptiliennes ? Mis à part Boulay et son livre "Flying Serpents and Dragons", les auteurs semblent faire l’impasse de cette information. Pourquoi ? existe-t-il d’autres auteurs ou mêmes des archéologues ou spécialistes en textes sumériens qui ont remarqué le caractère reptilien des "divinités" ?

Anton Parks : Je n'ai aucune idée de la raison pour laquelle M. Sitchin ne semble pas avoir compris que les "dieux" sumériens, qui font partie de la famille des Anunna, sont de type reptilien, surtout que leurs épithètes sont souvent en rapport avec les reptiles. Il y a aussi les nombreux sceaux qui ne laissent aucun doute possible quant à la filiation reptilienne entre les dieux et l'humanité. Il est d'ailleurs assez plaisant de constater que de nombreux admirateurs de l'œuvre de Sitchin semblent en accord avec la thèse reptilienne, alors que l'intéressé ne l'est pas du tout.

Magazine "Les Grands Mystères de l'Histoire", Hors Série n° 10, décembre 2009 - Neberu et la fin du monde
GMH : On parle de plus en plus d'une planète X que beaucoup d'auteurs et médiums associent à l'astre Nibiru (ou Neberu) des tablettes mésopotamiennes. Qu'est-ce que Nibiru ? N'est-ce pas l'auteur Zecharia Sitchin qui en a parlé le premier ? 


Anton Parks : C'est effectivement Zecharia Sitchin qui est à l'origine du "virus" planète X ou Nibiru. D'après ses calculs, cette planète devrait rejoindre notre système solaire entre 2012 et 2060. Manifestement, comme 2012 approche à grands pas, il pencherait plutôt pour la date la plus éloignée.

 On trouve trace de Nibiru ou Neberu / Marduk dans la littérature mésopotamienne. Il s'agit d'un astre mystérieux que quelques rares tablettes (l'épopée Enuma Elish et les tablettes : KAV 21B ; CT 26.41 ; CT 25.35.7 ; K.6174 et K. 12769) évoquent comme ayant un rapport avec les activités des dieux (royauté, guerres) et celles de l'humanité (déluge, travail de la terre). Toute la thèse de Sitchin est échafaudée sur la notion de cette planète errante et qui appartiendrait au système solaire, mais dont l'orbite fortement elliptique autour du soleil posséderait, selon lui, une période de 3.600 années terrestres. En terme clair, cela veut dire que ce chiffre correspondrait au temps que mettrait cette planète hypothétique à revenir vers la Terre de façon cyclique.

Ce que ne précise pas M. Sitchin et que j'explique dans mon second ouvrage Adam Genisis, c'est que le Šár (3.600) était une unité de mesure fréquemment utilisée par les Mésopotamiens. On la retrouve sur de nombreuses tablettes qui n'ont absolument rien à voir avec Neberu. Notons par exemple le récit du déluge dans l'épopée ninivite de Gilgamesh où le Noé mésopotamien confectionne son bateau à l'aide de "3 x 3 600 unités d'asphalte (Šár)" à la ligne 65 de la tablette. L'embarcation possède d'ailleurs "une superficie de 3.600 mètres carrés (Ikû)" comme formulé à la ligne 57… De nos jours, en géographie, 3.600 secondes (1/60ème de minute) représentent un degré.

Bref, c'est en se référant à la tablette d'argile VA-243 que M. Sitchin nous dit avoir relevé la présence de l'astre mystérieux tournant autour de ce qui lui semble être un soleil. Pourtant, cette tablette n'est absolument pas un document astronomique. Elle a fait l'objet d'une publication en 1940 par les soins d'Anton Moortgat pour le Vorderasiatisches Museum de Berlin. Les trois lignes qui composent le texte de cette tablette évoquent simplement : "Dusbsiga (nom personnel), Ili-Illat (nom personnel), ton serviteur". Donc, aucune allusion à Neberu et aucune trace de cette planète en tant que demeure des "dieux" Anunna.

GMH : Voulez-vous dire que les propos de Zecharia Sitchin au sujet de Neberu ne sont pas crédibles ?

Anton Parks : Je n'ai rien contre M. Sitchin, mais puisque vous m'en donnez l'occasion ici, je vais rétablir une vérité malheureusement déformée involontairement ou volontairement par cet auteur depuis plusieurs décennies. Je ne suis pas contre l'idée q'un astre puisse vagabonder dans des systèmes planétaires, mais le problème ne se situe pas là.

Selon les propos de M. Sitchin, les "dieux" sumériens Anunnaki proviendraient de la planète Neberu (qui est en perdition), et ces derniers trouveraient de l'or sur Terre pour restaurer leur atmosphère. Sauf preuve du contraire, les tablettes mésopotamiennes qui formuleraient ces informations n'existent pas. Aucun érudit, aucun spécialiste n'en a jamais fait mention, même entendu parlé ! J'ai fait de longues recherches dans de multiples bibliothèques spécialisées et auprès de plusieurs éditeurs spécialisés dans l'Orient ancien : rien, ces textes n'ont jamais été catalogués… Depuis plus d'une trentaine d'années il a été maintes fois réclamées à Zecharia Sitchin de fournir les références de ces tablettes, mais il ne l'a jamais fait.

Je rappelle aux personnes qui liront ces lignes attentivement, qu'à ce jour, bon nombre de lecteurs et magazines croient toujours aveuglément à la thèse fictive de Sitchin selon laquelle l'astre mésopotamien Neberu serait une planète d'où proviendraient les "dieux" sumériens. Idem pour cette idée d'or tirée des mines terrestres pour filtrer et stabiliser l'atmosphère de cette planète soit-disant en perdition, selon les propos de cet auteur. Libre aux magazines spécialisés de colporter ces inepties. Maintenant que les récits mésopotamiens sont disponibles dans les plus grandes bibliothèques et sur le Net, plus d'excuses ! Tout journaliste sérieux pourra vérifier et constater par lui-même…

Je suis totalement sidéré de voir un tel contentement autour d'un sujet aussi sérieux et qui finalement génère à la fois de la peur et surtout de la désinformation. Le problème vient aussi du crédit que l'on porte à Zecharia Sitchin qualifié, probablement à raison pour certains points, de grand érudit, notamment grâce à son CV. Cependant, l'auteur allemand Frank Dörnenburg a récemment mis le doigt sur un problème dans le CV de Sitchin. Il est écrit noir sur blanc à son propos qu'il aurait "acquis son diplôme au London School of Economics" (LSE)". Or dans cette école, on ne peut absolument rien y étudier qui ait un rapport avec l'archéologie, la sumérologie, le cunéiforme et les hiéroglyphes. Frank Dörnenburg note que de toute évidence, l'école LSE s'est transformée dans sa biographie en "Université de Londres" où là, on peut effectivement étudier l'archéologie. Et à Dörnenburg de conclure : "Il est plutôt probable que, comme adolescent, Sitchin ait bouquiné de la littérature appropriée. Il est évident que le CV de Sitchin a été maquillé soigneusement pour faire d'un journaliste économique un "expert spécialisé" en langues antiques et en archéologie", Je pense simplement que M. Sitchin a dû se dire, au début de ses travaux, qu'il ne serait jamais mis en défaut par les spécialistes des tablettes parce qu'il savait qu'ils ne s'abaisseraient jamais à cela.

Bien entendu, cela n'enlève rien aux recherches de cet auteur concernant les sujets autres que Neberu. Son travail est important, particulièrement celui qui concerne certaines de ses traductions des tablettes mésopotamiennes et ses déductions.

GMH : Si Neb-Heru est la planète Vénus, quelle est votre position par rapport aux rumeurs d'apocalypse de 2012 faisant état de l'arrivée de la planète X appelée aussi la "planète du passage" ? A l'évidence, cette planète X n'est pas Neb-Heru (Vénus)… Alors, quel est cet astre selon vous ? Pensez-vous que nous soyons en danger ?

Anton Parks : Non, je ne pense pas que nous soyons en danger. Le seul danger potentiel étant ce que les grands groupes d'influences qui détiennent tous les pouvoirs et certains groupes dits spirituels vont tirer de ce virus : de la peur et de l'argent, et pour les moins "alarmistes" et intègres, de l'optimisme, malheureusement basé sur une forme de génocide planétaire. Nous allons en reparler plus loin.

 

Sources - META