By Anarkia333 |
2007

Réseaux souterrains creusé par les Urmah sur 7 niveaux, appelé "Gigal" ou "Duat".
La capital souterainne se nomme "Nashareth".

Offert à Enki par les Urmah.

Gizeh sera construit par dessus.

Sources - META

 


Livre


 

Le Testament de la Vierge
254. chambre de la reine: Naissance d’Horus

 

Les chroniques du Girkù, Tome 2 : Adam Genesis

***Plateau de Gizeh***
261. Urmah: installer sur plateau de Gizeh: Robot de protection de la Zone 
Gizeh: désert depuis 3000ans seulement 
Vaisseau Urmah: petit et léger 
Urmah: attaque de l'Edin 
An: peu disponible envers Sa'am 
265. Site de Gizeh: Abandonner par Urmah: Sa'am: Visite des 7 niveaux sous terrains
Gizeh: refuge de Nammu lors d'attaque de Kingu Rouge 
265. Site Gizeh: Roche lisse Mégalithique: Forteresse 
266. Edifice en pyramide/Rectangle
Eclairage par ligne/Point au plafond de 80m 
275. Inscription gravé par Terre a l'attentions de Sa'am par les Urmah: Don des Souterrains de Gizeh a Sa'am + 2 Vaisseaux 

365. Thot a Gizeh
Oiseau Noir de guerre de Sa'am cacher dans Gizeh 
Oiseau bleue

390. Ninmah/Sa'am: installations sur 
Île de Bahreïn: 
Bâtiment en Pierre comme en plaine d'Edin (non en bois comme Kharsag): coulage de la Pierre 
Situer sur Tunnel menant a Gizeh 
Île de Bahreïn: Paix

 

Les chroniques du Girkù, Tome 3 : Le réveil du Phénix
 (Édition Nouvelle Terre)

69. Nashareth: capital sous Gizeh 
Rappel du Testament de la Vierge: Nasha-Reth, "les êtres forts de la Duat issus de l'oeil
solaire (Râ)". Le réseau souterrain se nomme "Duat" ou "Gigal", et sa capitale sous le plateau
de Gizeh, "Nashareth".


225. chambre de la reine: passage secret vers Duat (réseau souterrain)

284. Nisighu (l'oiseau bleu): conserver sous Gizeh et dans l'eau
Niveau de Gizeh/Nashareth

 


Liens


 

Magazine "Nexus" francophone n°50, mai-juin 2007 - Anton Parks : L'humanité est une création extraterrestre

Karma One : Lorsqu’on examine les bas reliefs et les statues des divinités sumériennes mais aussi assyriennes et l’art babylonien en général, on remarque qu’il y a un grand nombre de représentations d’entités hybrides mi-hommes, mi-lion. Vous parlez dans le livre d’une race extraterrestre très sophistiquée et puissante – la lignée des Urmah. Est-ce que ce sont eux qui sont représentés dans ces gigantesques statues et bas reliefs ? Le plateau de Gizeh joue un rôle important dans votre livre : avant d’être ce que les archéologues dépeignent essentiellement comme un site funéraire, c’était le siège d’une base, de cette colonie gigantesque extraterrestre que vous dénommez Urmah ainsi que l’endroit où deux fleuves s’écoulent dont l’un des deux est le double souterrain de l’autre. Pouvez-vous nous en dire plus ? 

Anton Parks : Les Urmah (litt. "grand guerrier" en sumérien) sont des êtres félidés faisant partie des Kadištu (planificateurs). Il s'agit de l'armée officielle des planificateurs. Les Urmah ont participé à la guerre contre les Anunna jusqu'à un certain moment, comme expliqué dans Ádam Genisiš. Ils possédaient une base gigantesque sous le plateau de Gizeh, souterrains que les natifs du plateau dénomment Gigal. Ce terme est totalement inconu, il ne s'agit pas d'égyptien, mais si nous avons l'idée de le décomposer en sumérien, GI7-GAL et GI6-GAL donnent respectivement "le grand et noble" et "le grand et sombre". Ce vocable rappelle néanmoins le terme latin Giganteus (gigantesque) ou encore Gigantes (les géants), c'est-à-dire les êtres "monstrueux" – les fils ou enfants de la terre (les génies serpents) – qui voulurent escalader l'Olympe pour détrôner le roi des dieux. 
Le Gigal est une forteresse et ses murs étaient des remparts imprenables. La grande majorité des chefs de villages, c'est-à-dire des initiés, qui résident sur le plateau de Gizeh savent pertinemment que le site est truffé de galeries qui forment un réseau souterrain absolument gigantesque ! Eux-mêmes connaissent d'ailleurs l'emplacement de certains tunnels au nez des autorités et du Conseil Supérieur des Antiquités Egyptiennes, qui, j'en suis convaincu, fouillent les lieux secrètement depuis des décennies. 
Le lecteur intéressé par le sujet aura remarqué que l'origine du terme Gigal provient sans doute du terme sumérien KI-GAL qui désigne "la grande terre" ou "la grande place" que j'ai assimilé à l'ensemble des dimensions terrestres dès le tome 1. En Egypte, le sens du Kigal sumérien est détourné et spécifié uniquement au centre stratégique qui se trouve sous le plateau de Gizeh et qui donne accès au réseau souterrain que les anciens textes dénomment Duat. L'assimilation du Gigal égyptien au Kigal sumérien est d'autant plus évidente que l'équivalent akkadien de Kigal est Kigallu dont les sens sont : "base ; terre inculte ; sous-sol ; monde infernal". Les Sumériens et Akkadiens redoutaient ce territoire étranger au point de l'assimiler à leur notion du Kur inférieur. Le royaume des morts du "pays étranger" dénommé Kemet (l'Egypte) – décomposé en suméro-akkadien en KE-EM-ET ("la terre du présage de la tempête") – est bien le domaine nocturne où l'on enterrait les morts, où les morts recevaient un culte funéraire totalement inconnu et redouté à Kalam (Sumer). Le sanctuaire antédiluvien placé sous les pyramides de Gizeh fut réutilisé par les "dieux égyptiens" comme base souterraine et ensuite employé pour effectuer les rites funéraires des anciens pharaons en vue de restaurer le corps et l'âme des souverains d'Egypte, successeurs d'Osiris et Horus.