Edin (la plaine, la steppe) en sumérien. Le lieu où les Adam travaillent pour les Gina'abul.
Kharsag est resté le domaine souverain de Ninmah, des Usumgal et de la majorité des Anunnaki, alors que l'Edin (la plaine) est devenu le séjour d'Enlil et de ses ouvriers multiethniques. Quelques Anunnaki se sont éparpillés dans la gigantesque plaine. Nous avons commencé à élever des cités pour eux près de la plupart des Diranna (portes stellaires) qui jalonnent les terres du grand Sàtam (administrateur territorial). Ces bâtiments ne sont pas encore tous habités.
Les chroniques du Girkù, Tome 2 : Adam Genesis ; p186 ; Edition Nouvelle Terre.
Sources - META
♦Livre♦
Les chroniques du Girkù, Tome 2 : Adam Genesis
173. Edin/Eden: Plaine: comporte plus de 20 Diranna
Puits creusé dans le sol pour l'Eau
An: Besoin d'eau: Fleuve a creuser
195. Projet de la Ville Kharsag dans l'Edin
♦Liens♦
Magazine "Nexus" francophone n°50, mai-juin 2007 - Anton Parks : L'humanité est une création extraterrestre
Karma One : Vous évoquez régulièrement l’existence de dispositifs technologiques employés par les Gina’abul (reptiliens mâles) et les Amasutum (les lignées femelles). Il y a d’abord les vaisseaux spatiaux mais également les cristaux de mémoire (Gírkù) qui font penser à des ordinateurs vivants. Vous parlez également des effrayants "Dúbù" que l’on peut traduire par le terme "forge". Ces "Dúbù" célestes font presque penser à des drones, des dispositifs robotisés de surveillance, de comptabilité (du temps et de la production minière) qui contrôlent les hommes comme une sorte de Big Brother. Ces drones semblent épaulés par une sorte de milice reptilienne mâle, les Šàtamàm. Que sont les Dúbù ? Peut-on vraiment parler de drone, de robot volant répressif de surveillance ? L’Eden dirigé par Enlíl ressemble plus à un enfer qu’un paradis. Pouvez-vous nous dire plus sur les conditions de vie de l’homme dans cet Eden des plaines mésopotamiennes ?
Anton Parks : Lorsque les rescapés Gina'abul de la guerre qui opposa les Anunna aux Kadištu (planificateurs) se retrouvèrent sur la Terre, ils firent face à un environnement hostile, très sauvage, sans véritable technologie si ce n'est celle qu'ils avaient avec eux dans leurs vaisseaux et celle des Ama'argi, les planificatrices terrestres. Leur histoire mélange une technologie hautement sophistiquée et des moyens rudimentaires, voir grossiers qu'offrent le sol terrestre. C'est pourquoi, on voit par exemple les planificateurs d'Enki, les Nungal, creuser les deux fleuves principaux de l'Eden biblique avec un matériel médiocre. Enlíl, le grand Šàtam (administrateur territorial) de l'Edin (la plaine mésopotamienne) profite d'ailleurs de cette situation et de son statut pour les faire travailler davantage et dans des conditions très précaires.
Le terme Dúbù ("marteler avec fracas" en sumérien) est le vocable que j'ai reçu à l'époque. Il se retrouve manifestement dans le langage dogon (Mali) sous la forme Dúbo qui exprime une forge. Les Dúbù sont effectivement des drones. Véritables équipements automatisés, ils possédaient des sortes de caméras et tous l'outillage nécessaire pour travailler le sol de l'Edin (la plaine). Ils rythmaient aussi la cadence de la production et signalaient le début et la fin des travaux journaliers effectués par les ouvriers humains. Les Dúbù provenaient de Mars où, An, le roi des Anunna, travaillait sur plusieurs projets secrets qui ne seront révélés que dans le volume 3. Oui, l'Edin (la plaine) d'Enlíl était un enfer pour les travailleurs humains clonés pour l'occasion. La grande crainte que ressentait l’humanité à l'encontre d'Enlíl est très explicite dans plusieurs passages comme cette "prière à Enlíl" inscrite sur argile : "Mon Seigneur, dont le cœur en haut ne se calme pas, Mon Seigneur, dont le cœur en bas ne s'apaise pas, (…) Qui m'a courbé, qui m'a achevé, qui a mis le tremblement en ma main, qui a mis le frisson en mon corps, a rempli de larmes l'iris de mes yeux, a rempli de souffrance mon cœur qui fléchit, je veux calmer son cœur pur, je veux lui dire une requète. (…) Que les Anunna engendrés par An, disent une prière en sa faveur (…)" (Prière à Enlíl - Dalglish text n°11, Psalm fifty-one).