À petite dose, elle met de bonne humeur et réduit l’angoisse. La molécule de l’alcool a en effet la particularité d’inhiber ou de stimuler un certain nombre de zones du cerveau, libérant de la dopamine, des endorphines ou de la sérotonine. Qui, pourtant, à l’exception de quelques scientifiques, la dénonce comme une drogue capable d’affecter nos 200 milliards de neurones ?