Deux fois par ans, la police scientifique française se retrouve face à un mystère, des cas d’autocombustion. Les victimes sont retrouvées dans une position naturelle sans tentative de fuite apparente. De leur corps, il ne subsiste que les extrémités (bras, jambes, crâne) le reste étant réduit à l’état de cendres blanches. La température nécessaire à une telle combustion est bien supérieure à celle d’un incendie classique, pourtant l’environnement immédiat du cadavre est intact.