By Anarkia333 |
2007

Noms : "Sumérien : Hudili ; Zehuti" ; "Egyptien : Thot ; Djehuti" ; "Biblique : Mikael le sage ; Enoch".

Race : Nungal.

Note 35 Les puristes auront compris qu'il s'agit du nom de Thot, que l'on retrouve en égyptien sous la forme "Djehuti". Ce nom est un mystère pour les égyptologues, car il est quasi intraduisible. La traduction la plus plausible en égyptien donnerait quelque chose comme "celui de Djehut", mais ce lieu est totalement inconnu, et pour cause. Ce terme est encore une fois du Gina'abul-sumérien et se décompose de la façon suivante : le DJ n'existe pas en suméro-akkadien, nous le remplacerons tout naturellement par ZE, particule assyro-babylonienne qui se confond avec le sumérien Zl (souffle, esprit), HU (oiseau) et TI (vie), ce qui nous donne ZE-HU-TI "le souffle (ou l'esprit) de l'oiseau de vie". Maintenant que cet épineux problème est définitivement résolu, voyons qui est ce Djehuti-Thot chez les Égyptiens. Thot est fréquemment représenté sous la forme d'un être à tête d'ibis. Il faut savoir que l'ibis est souvent signalé en tant qu'oiseau symbolisant le mort qui voyage dans l'autre monde avant d'atteindre la lumière. À cet effet, Thot est justement celui qui "apporte au trépassé le souffle de vie". Nous avons discuté plus haut de son rôle similaire à celui de Seth auprès du dieu solaire, sauf qu'à l'inverse de Seth, Thot défend le dieu soleil non pas avec une épée, mais avec des formules magiques, car c'est un grand magicien. Ajoutons que Thot personnifie la connaissance, la science et l'écriture. Il est généralement considéré comme "l'oiseau sorti de Ptah", dont nous allons parler à l'instant même ...
Les chroniques du Girkù, Tome 2 : Adam Genesis ; p82 ; Edition Nouvelle Terre.

Sources - META

 


Livre


 

Le Testament de la Vierge
148. Thot: Assimilé à l'esprit Saint 

275. Enoch : Thot

 

Les chroniques du Girkù, Tome 2 : Adam Genesis
137. Hudili: Thot

158. Apparition des namlu'u devant Anunnaki/An/Enlil/Usumgal
Thot 

206. Thot: Fin des travaux manuels en Edin pour lui 

303. Thot: Visite de Gizeh 

 

Les chroniques du Girkù, Tome 3 : Le réveil du Phénix
***Pierre Benben/Mulge***
149. Thot et Pierre Benben de Gizeh 
Pierre Benben: scintille, danger
Autre nom: Arit: l'Œil: antenne magnétique de l'Ether 
Mulge-Tab: lié a Asar: mort ensemble
Vénus: Benu celeste/Arit-Kheru
Gizeh: régule le climat 
Autre site avec Pierre Benben: Turquie/Serkit/Montagne d'Enoch 
***

298. Thot/Anubis: Activation des Opération depuis Chambre de la Reine 

 


Liens


 

Magazine "Les Grands Mystères des Sciences Sacrées", n°20, novembre 2007
Le Livre d’Enoch fait constamment référence à des "anges déchus" ayant copulé avec les filles des hommes, engendrant une race de "géants". L’Ancien Testament y fait également allusion. Qui étaient selon vous ces "veilleurs" ? Avez-vous entendu parler du serment d’Aka évoqué dans ce livre ? Dans l’affirmative, pourriez-nous en dire plus car ce serment nous semble très important et aucun auteur jusqu’ici ne s’est hasardé à le commenter ? 

C’est extrêmement simple et je l’ai évoqué plus haut, les "anges déchus" sont les veilleurs dont il est question dans le Livre d’Enoch. Ces êtres sont les Nungal (litt. "grand(s) prince(s)" en sumérien) de Sa’am-Enki, c’est-à-dire d’Osiris. Ils portent également le nom d’Igigi dans les versions akkadiennes, dénomination généralement traduite en "veilleur(s)" et sont désignés comme étant les Shemsu-Râ ("suivants de la lumière"), les fidèles d’Osiris en Egypte. Ils se sont effectivement mélangés avec des femmes humaines et ont bien engendré, non pas des géants, mais des enfants de grandes tailles qui sont sans doute les ancêtres des races nordiques. 
A propos du serment d’Aka, oui, je vois de quel passage du Livre d’Enoch il s’agit. Cette annotation se trouve dans le chapitre 68, lorsque les différents "anges coupables" sont désignés. Le serment d’Aka ne fait que décrire les multiples facultés créatrices du dieu biblique. Facultés que nul n’a le droit de mettre en doute ou de bafouer. Nous savons aujourd’hui, grâce aux différentes recherches effectuées par des experts de la Bible comme Philip Davies, que le prophète Enoch ne serait autre que le prince Enmeduranki de la ville sumérienne de Sippar. Il est donc certain que l’histoire d’Enoch n’est pas hébraïque, mais qu'elle possède un lien avec Sumer. Dans ces conditions, il est nécessaire de traduire le terme Aka en sumérien. Nous obtenons AKA ou AK qui sont des formes verbales qui signifient "faire ; placer ; imposer ; accomplir". Ainsi, le serment d’Aka qui est déposé dans les mains de l’archange Mikaël – le bras armé de Yahvé qui correspond à Ninurta chez les Sumériens – n’est autre qu’un texte qui impose la loi du dieu unique et patriarcal (An chez les sumériens). Il s’agit sans doute d’un ancien texte de loi abrégé dans le manuscrit d’Enoch parce que son contenu est simplement perdu aujourd’hui. [ndlr Dans le Testament de la Vierge, Anton Parks démontre que Enoch serait précisément le Nungal sumérien Zehuti que l'on retrouve sous le nom de Djehuti (Thot) en Egypte].