Jacques Mortane, journaliste sportif bien connu de l'entre-deux guerre, relate ici l'histoire de tous ceux, petits et grands, célèbres ou méconnus, qui ont contribués à ce qu'est devenu l'aviation à cette époque. Il commence par Icare et dédale et, passe par Ader, les voyages, courses et exploits d'avant 1914, la première guerre mondiale, bien sur, et fini sur les grands raids et la conquête aérienne des pôles.

Un petit fascicule qui permettait à tous le monde de s’imprégner des silhouettes des avions pour les reconnaitre. Il est associé à un petit explicatif assez simple, voire simplet. Pas de date précise d'édition, mais au vu des avions de l'ouvrage, on est en 1915 ou début 1916 au plus tard.

Il est amusant de voir que ce livre était en vente libre, alors que son équivalent militaire, un peu plus riche sur le plan technique, était "secret défense".

Maurice Rossi naît le 24 avril 1901 à Laverdure (Algérie). Son père est exploitant forestier. Il travaille comme aide-géomètre quand éclate la Première Guerre mondiale. Il s’engage dans l’armée avant d’avoir dix-huit ans, dans l'artillerie en 1918. Passionné par le vol, il obtient son transfert dans l'aviation. Il est breveté pilote à Istres l'année suivante et devient ainsi le plus jeune pilote militaire de France, il a alors 18 ans.

"Les quatre éléments, pas plus que les trois principes, ne représentent des corps particuliers. Ce sont de simples états de la matière, des modalités. L'Eau est synonyme de liquide, la Terre c'est l'état solide, l'air l'état gazeux. Le Feu un état gazeux très subtil car dilaté par la chaleur. Les quatre éléments représentent donc les états sous lesquels la matière se présente à nous. On pouvait par la suite dire logiquement que les éléments composent tout l'Univers.

Nicolas Flamel, Paracelse et Albert le Grand sont probablement les noms plus connus de tous les alchimistes. La célébrité de Nicolas Flamel est tellement grande en France qu'il n'y a peut-être personne qui ne connaisse sa légende.

Après sa mort, Flamel fut considéré comme l'un des plus grands maîtres de l'alchimie; ses ouvrages furent fort recherchés, surtout ceux qui n'existaient qu'à l'état de manuscrit, lesquels furent maintes fois copiés aux XVIIe et XVIIIe siècles. Preuve éclatante de l'attrait dont Flamel jouissait auprès des hermétistes.

« Paracelse compara les lois de la nature à celles de l'Esprit, et en arriva à la conclusion que ce qui se manifeste dans la création s'exprime de façon semblable dans l'âme et l'esprit. Ainsi, en étudiant les lois naturelles, on peut arriver, analogiquement, à une compréhension profonde de soi-même. Les métaux sont une densification des rayons de l'Esprit. Il y en a sept majeurs et chacun d'entre eux peut être mis en relation avec une planète. Pourtant, dans l'être humain, ces métaux agissent de manière déformée. Ils ne demeurent actifs pratiquement qu'aux niveaux horizontal et matériel.

Parmi la nombreuse littérature hermétique parue ces dernières années, l'impétrant à la pérenne alchimie peut déplorer la symbolisation excessive des livres, et le fait que l'expérimentation concrète en soit absente. Dans les temps anciens, le symbole était vivant, transmis. Il imprégnait la conscience des hermétistes. Il servait de guide dans la Voie obscure et amenait à la Lumière.

Introduction. Jean Vauquelin des Yvetaux (1651 - 1716). Il était fils d’Hercule Vauquelin, maître des requêtes, puis Intendant du Languedoc. Dans sa jeunesse, à Caen, Jean Vauquelin s’était d’abord intéressé à la pharmacie, mais sans croire à l’existence de la pierre philosophale.